Kerrington Valencia Alley

On a cobweb afternoon in a room full of emptiness by a freeway I confess I was lost in the pages of a book full of death

Caractère

Kerrington Alley est sans doute l'une des femmes les plus froides de tout Gotham City. Il faut dire qu'avec le vécue qu'elle a, elle n'a pas tellement envie d'être ouverte et attentionnée. Il faut savoir que cette femme est très méticuleuse. Elle est patiente et réussira à vous faire dire ce qu'elle veut entendre et dans les mots qu'elle veut les entendre. On pourrait croire que cette femme est le diable en personne, mais pourtant c'est tout le contraire. Autrefois, cette jeune femme débordait de joie. Elle rayonnait de mille feux et savait s'amuser. Cela dit, certains événements de sa vie ont fait qu'elle a préféré se reculer et couper toute relation interpersonnelle. Par contre, elle est toujours là pour prendre soin de son très petit cercle de proches. c'est une jeune femme qui n'a pas froid aux yeux. Elle vit sa vie à cent à l'heure et elle n'hésite pas à se jeter devant le danger. Certains diront qu'elle est de la chair à canon, d'autre diront qu'elle est simplement courageuse et n'a pas froid aux yeux. Elle préfère la deuxième version, mais sait très bien qu'elle est la première. Elle est rencunière et n'hésite pas à faire payer ceux qui l'ont blessé. Cela dit, derrière cette femme forte se cache une femme blessée et complètement détruite par la mort de sa meilleure amie. Elle culpabilise d'ailleurs encore à se sujet. c'est l'un de ses points faibles. Sinon, on peut dire qu'elle est très sarcastique et n'hésite jamais à se moquer gentillement de ses collègues. Bref, si vous deviez avoir une seule alliée, c'est surement Kerrington Alley.

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Derrière l'écran

Histoire

27 décembre 2003,
Il neige sur Gotham. Le ciel est sombre, il fait froid et les ruelles sont incertaines. Une jolie brune marche, les mains dans les poches. Elle regarde par-dessus son épaule. Elle entend des bruits de pas derrière elle. Une main se pose sur son épaule. Tout se passe rapidement. Sa tête tourne. Elle ne voit pas le visage de son asseyant. Il l'agrippe à la gorge et l’entraîne plus loin dans la ruelle. Elle voudrait hurler, mais elle est paralysé. Son coeur bat à la chamade. Kerrington Alley a perdue toute trace d'innocence ce soir là. Son asseyant a pointé son arme sur elle. Sur sa tempe. L'arme froide. Soudainement, alors que le déclic de l'arme se fait entendre, elle se retrouve projeté au sol. Son agresseur se retrouva ficeler sur le sol. Un homme tout de noir vêtu l'aida à se relevé. Aucun des deux ne dirent quoi que ce soit. Kerrington baissa les yeux. L'homme lui murmura que tout ira bien à présent. Elle acquiesça silencieusement. Avant qu'elle n'ait eu le temps de dire quoi que ce soit, l'homme avait quitté les lieux et il n'y avait plus aucune trace de son agresseur. À partir de ce jour là, Kerrington a toujours chercher à retrouver cet homme masqué qui lui avait sauver la vie.


2 Juin 2007,
C'est le jour de la remise des diplôme à l'université de Gotham. Kerrington Alley se tient droite avec sa toge bleue. Elle a travaillé si fort et si dure. Depuis sa rencontre avec l'homme masqué en 2003, Kerrington avait changé de branche. Si au départ, elle voulait être écrivaine, elle s'était tourné vers le corps policier afin de redonner aux autres ce qu'elle avait reçue lorsqu'il l'avait sauvé. Tout le monde était silencieux en attente du discours de la major de la promotion de 2007. Kerrington se racla la gorge. Tous les yeux étaient rivés sur elle. « Chers nouveaux policiers, nous sommes réunis ici afin de célébrer notre réussite. Nous avons traversé des épreuves auxquelles beaucoup de gens auraient pu échoués.» Elle baissa les yeux et regarda sur sa feuille avant de relevé les yeux et continuer de son plein coeur. « Nous sommes les héros de demain. Les agents de la paix. Que dieu vous protège. Au plaisir de travailler avec vous.» Qui avait-il d'autre à dire? Il devait y avoir le quart de ses étudiants qu'elle ne reverrait pas vivant. Il faut être honnête, à Gotham, il y a plus de policiers morts que vivant. Certains étaient des ripoux, d'autres dédiaient leur vies à la justice. Kerrington faisait partie de la deuxième catégorie.


1 février 2010,
Cela fait maintenant trois ans que Kerrington était policière. Au départ, les policiers de la central de Gotham City l'a mettait toujours sur des petits cas comme, remettre des infractions de la route aux conducteurs dangereux ou encore remettre des contraventions de stationnements, bref... tout le sale boulot qu'on fait au départ. Cela dit, c'est ce matin que tout s’apprêtait à changer. Alors qu'elle travaillait au deuxième étage, des coups de feu se firent entendre au rez-de-chaussé. Des cris se firent entendre. Les agents de police et les ''clients'' étaient en panique général. c'est alors que la jolie Kerrington décida d'aller sauver ses collègues contrairement aux autres de son étage qui se sauvaient les jambes à leur coup. Elle descendit avec son collègue sur ses pas. Silencieusement, elle lui fit signe de rester derrière elle. Kerrington cria à l'homme devant elle de baisser son arme, qu'elle n'hésiterait pas à tirer. Celui ci fut pris au dépourvu, ne croyant jamais qu'une femme tenterait de le défier. « J'ai dis, baisse ton arme, salaud.» Kerrington braqua son arme sur lui, elle tira la gachette et s'apprêta à tirer lorsqu'il  baissa son arme en levant les mains dans les airs. « Couche toi, maintenant!» cria-t-elle. L'homme s'exécuta. Après cet épisode, Kerrington fut promu au statut de détective.


17 avril 2015,
Il manquait quelqu'un sur l'équipe de patrouille 42 et Kerrington n'était pas du genre a laissé l'un de ses policiers seuls. Elle préférait elle-même aller faire la patrouille avec eux. C'est donc ce qu'elle avait fait en ce matin du 17 avril 2015. Alors qu'ils étaient arrêté dans une ruelle, ils reçurent un appel provenant d'Uptown Island. Tout alla très rapidement dans son cerveau. 4265, Abbey Road, appartement 7. Elle aurait pu se souvenir de cette adresse même en faisant de la démence. « On l'prend.» dit rapidement Kerrington en enclenchant les sirènes de la voiture. Elle appuya sur l'accélérateur. Son coeur battait dans ses tempes. Son pouls augmenta drastiquement autant que la voiture avançait. Ils arrivèrent rapidement sur les lieux. Les flammes sortait du bloc appartement. Kerrington sorti de la voiture et grimpa les marches deux à deux. Les pompiers tentèrent de la retenir. Impossible. Elle arriva devant l'appartement 7. La fumée émana de l'appartement. La porte était défoncée. Elle commença a toussé. Elle mit sa manche devant son visage et pénétra dans l'appartement. Deux corps étaient étendue au sol. Un homme, la tempe défoncé par une balle. Une femme, ruée visiblement de coups. Un galon d'essence. 1+1=2. Les genoux de Kerrington flanchèrent. Elle eut la nausée. Peu de temps après, elle s'évanouit à cause de la fumée. Un pompier la sortie et la mis sur une civière. Lorsqu'elle se réveilla à l'hôpitale, la première chose à laquelle Kerrington pensa fut «Le salaud». Il l'avait tué. Comment se faisait-il que Kerrington ne se serait douté que sa meilleure amie était victime de violence conjugale. Depuis ce jour, Kerrington s'en veut à mort. Elle refuse de se faire quelconque amis. Elle ne voudrait plus avoir à vivre se genre de détresse.

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